Mon fils, écoute, etc. — On voit bien combien les lois humaines diffèrent des lois divines. Le premier prévoit généralement seulement que les enfants tiennent dûment compte de leurs pères, mais ne tient pas compte des mères ; comme on peut le voir dans les lois persanes mentionnées par Aristote : la romaine, décrite dans les Digestes et les Constitutions, et plusieurs passages des philosophes grecs que l'on trouve chez Epictète et Simplicius, qui ne consultent que l'honneur du père. Mais Dieu, dans sa loi, prend soin d'assurer une juste révérence aux deux parents, comme nous le trouvons dans de nombreuses parties de ce livre. Voir les seize premiers versets du troisième chapitre de l'Ecclésiastique.

Continue après la publicité
Continue après la publicité