Si je méprise la cause de mon manserver, ou de ma femme de servante, .... Que ce soit une cause qui a liée à toute controverse ou se disputer entre eux quand elle a été portée devant lui, il ne l'a pas rejeté, à cause de la méchanceté des parties contraignantes et l'état de la servitude qu'ils étaient dans; Mais il l'a reçu et la fouilla, entendait patiemment ce que chacun avait à dire, les a examinés de manière approfondie, est entré dans le mérite de la cause et les a réconciliés, ou a adopté une phrase juste, puni le délinquant et protégé l'innocent; Ou, si c'était une cause relative à lui-même, toute plainte de leur travail, de ses salaires ou de nourriture, ou de vêtements, comme il semble que ce qui suit:

quand ils ont soutenu avec moi; avait quelque chose à se plaindre de, ou de s'opposer à lui sur le compte ci-dessus, ou à tout autre, où il y avait une émission ou une couleur de fondation; Sinon, on ne peut pas penser qu'il adonserrait un comportement saucy, impudent et contredisant en eux envers lui: les maîtres de ces époques et des pays avaient une illimitée et exerçaient un pouvoir despotique sur leurs serviteurs et les utilisaient avec une grande rigueur et ont refusé de Faites-leur la justice aux plaintes; Mais le travail s'est comporté comme s'il avait eu les règles de l'apôtre devant lui d'agir dans sa conduite envers ses serviteurs, Éphésiens 6:9; et même condescendus à soumettre la cause entre lui et ses serviteurs à d'autres juges ou arbitres, ou a plutôt pris connaissance de lui lui-même, entendu patiemment et soigneusement ce qu'ils devaient allumer et leur ont fait justice.

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