Pour en effet, il était malade à la mort, ... ce n'était pas une simple rumeur, ni une fausse alarme, mais était une affaire de fait réelle; Et ce n'était pas un trouble de la lumière, une légère indisposition, mais une maladie très dangereuse; Bien que la maladie n'était pas une mort, mais près de celle-ci. Les bons hommes, tels que Christ adore, comme il l'a fait lazarus, sont parfois malades; Bien que leurs maladies spirituelles soient guéries et que leurs péchés pardonnaient, de sorte que les habitants de Sion n'ont plus de raison de dire qu'ils sont malades, puisque Christ a pris leurs infirmités et ennui à leurs maladies, mais ils ne sont pas exemptés de troubles corporels; et qui sont parfois tels que les amener au bord de la tombe et, comme c'était, aux portes de la mort; Et tel était le cas de ce bon homme:

Mais Dieu avait miséricorde sur lui: son trouble était tel que c'était hors de la portée de l'homme; Son rétablissement n'était pas par l'homme, mais par Dieu, et en raison de son pouvoir, de sa miséricorde et de son bonté; Et en effet, chaque fois que des moyens sont faits, et ils réussissent à la restauration de la santé, il devrait être attribué à la bénédiction divine sur eux. La levée de cet homme est considérée comme un exemple de miséricorde à lui; Comme c'était l'élimination d'une affliction grave, un retour de lui à son charmant travail du ministère et la poursuite d'une vie utile pour le bien des autres; et donc une miséricorde pour lui, et aux églises du Christ et à l'apôtre aussi: qui ajoute,.

et pas sur lui seulement, mais sur moi aussi, de peur que je devrais avoir chagrin sur le chagrin: une affliction ajoutée à une autre; la mort de ce frère de son à ses liens: De plus, la maladie de ce compagnon de son remplit de chagrin: et était-il mort, il aurait grandement augmenté, et qui aurait eu une nouvelle addition par la perte de cette église Sustain et le chagrin et les problèmes qu'ils seraient submergés de: Grace et la doctrine de la grâce, bien qu'ils régissent les passions et les restreignons de chagrin immodéré, ils ne les détruisent pas, ni ne leur refusent la bonne utilisation. Le christianisme ne présente pas une apathie stoïque, mais nécessite et encourage une sympathie chrétienne et nous dirige de pleurer avec eux qui pleurent dans les limites dues.

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