(2) Que le mari rende à la femme (c) la bienveillance qui lui est due : et de même aussi la femme au mari.

(2) Deuxièmement, il montre que les époux doivent avec une affection singulière s'aimer entièrement.

(c) Le mot « dû » contient tous les types de bienveillance, bien qu'il parle plus d'une sorte que de l'autre, dans ce qui suit.

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