(21) Car si le (n) héritage [est] de la loi, [ce n'est] plus une promesse : mais Dieu l'a donné à Abraham par promesse.

(21) Une objection : nous admettons que la promesse n'a pas été annulée par l'alliance de la Loi, et donc nous joignons la Loi à la promesse. Non, dit l'apôtre, ces deux-là ne peuvent tenir ensemble, c'est-à-dire que l'héritage doit être donné à la fois par la Loi et aussi par la promesse, car la promesse est gratuite. Et de là il s'ensuit que la Loi n'a pas été donnée pour justifier, car par ce moyen la promesse serait rompue.

(n) Par ce mot "héritage", on entend le droit de la semence, c'est-à-dire que Dieu doit être notre Dieu, c'est-à-dire qu'en vertu de l'alliance qui a été faite avec le fidèle Abraham, nous qui sommes fidèles pouvons par ce moyen soyez bénis par Dieu aussi bien qu'Abraham.

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