(3) Car lorsque nous (e) étions dans la chair, les (f) mouvements des péchés, qui étaient par la (g) loi, ont (h) travaillé dans nos membres pour porter du fruit jusqu'à la mort.

(3) Une déclaration du premier dicton : car il dit que les désirs charnels que la loi a suscités en nous étaient en nous comme s'ils étaient un mari, de qui nous avons enfanté des enfants très mortels et maudits : mais maintenant ce mari est morts, et par conséquent, étant délivrés de la force de cette loi meurtrière, nous sommes passés sous le contrôle de l'Esprit, de sorte que nous enfantons maintenant, non pas ces enfants pourris et morts, mais plutôt des enfants vivants.

(e) Lorsque nous étions dans l'état du premier mariage, qu'il appelle dans le verset suivant l'ancienneté de la lettre.

(f) Les mouvements qui nous poussaient au péché, qui montrent leur force même dans nos esprits.

(g) Il ne dit pas "de la loi" mais "par la loi", parce qu'ils découlent du péché qui nous habite, et prennent l'occasion de travailler en nous de cette manière, en raison de la contrainte que fait la loi, non pas que la faute soit à la loi, mais à nous-mêmes. (h) A travaillé par leur force.

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