RÉFLEXIONS

DIEU BÉNI ! que ce soit mon bonheur d'être distingué de toutes les personnes charnelles et impies, et d'emporter avec moi, partout où je vais, tous les traits distinctifs de caractère qui doivent marquer ton peuple. Je me réjouis, DIEU miséricordieux, dans le souvenir de l'unité de l'essence divine, et tandis que je prie pour la grâce continuelle de vivre une vie de foi dans la jouissance constante de la communion et de la communion avec toutes les Personnes de la DIEU, que ce soit mon joie et consolation, la conviction de cette vérité première et la plus glorieuse, le SEIGNEUR notre DIEU est un SEIGNEUR !

Oh! que tous ceux qui, à l'heure actuelle, sont tentés de se demander si le SEIGNEUR JÉHOVAH existe ou non dans une pluralité de personnes, liraient ces innombrables passages, où le mot SEIGNEUR qui est au singulier et signifie l'unique glorieux JÉHOVAH est joint au mot DIEU au pluriel : comme pour faire taire à jamais le blasphème des infidèles et affermir et confirmer la foi des croyants. Et ah ! que toute la semence d'Abraham selon la chair consulterait ses propres écritures sur cette vérité glorieuse, que lorsqu'elle découvrirait le nom sacré de, le DIEU de Jacob joint à des mots qui sont au pluriel, elle ne pourrait plus douter qu'il existe une pluralité de personnes dans Lui qui est le DIEU glorieux d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ! Hâte-toi, grand libérateur, et lève-toi de Sion pour détourner l'impiété de Jacob.

SEIGNEUR! Je vous prie de me faire grâce, afin que la religion vitale de mon Rédempteur adoré soit avec moi une religion de famille, une religion personnelle, Une religion manifestée à tout le monde. Que ce soit ma gloire et mon plaisir de faire savoir à tout le monde qui je suis, qui j'aime et que je désire servir dans l'évangile du cher FILS DE DIEU. Oui! tu bénis Rédempteur, sois ma part, ma joie, mon bonheur, mes délices ; et sois mon SEIGNEUR ma justice, afin que j'en parle chaque jour et tout le jour, et que je porte ton saint et cher nom comme un sceau sur mon coeur et sur mon bras; et comme frontons entre mes yeux. Et toi, très cher Éternel, reconnais-moi pour toi, maintenant et quand tu viendras faire tes bijoux.

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