It is good neither to eat flesh, nor to drink wine, nor any thing whereby thy brother stumbleth, or is offended, or is made weak.

Il est bon de ne pas manger de chair, ni de boire du vin, ni [rien] ('ni rien faire') par lequel ('dans lequel') ton frère trébuche, ou est offensé, ou est rendu faible - plutôt, «est faible». Ces trois mots, a-t-on fait remarquer, sont chacun intentionnellement plus faibles les uns que les autres: q.d., «ce qui peut faire trébucher un frère, voire être gêné dans sa voie chrétienne; non - bien qu'aucun de ceux-ci ne puisse suivre - où il reste faible; incapable d'ignorer totalement l'exemple, et pourtant pas préparé à le suivre. Mais cette injonction de s'abstenir de la chair, du vin et de tout ce qui peut blesser la conscience d'un frère, doit être bien comprise. Manifestement, l'apôtre traite de la régulation de la conduite du chrétien en se référant simplement aux préjugés des faibles dans la foi; et ses instructions ne doivent pas être considérées comme des prescriptions pour toute sa vie, même pour promouvoir le bien des hommes à grande échelle, mais simplement comme des mises en garde contre l'utilisation trop libre de la liberté chrétienne dans des domaines où d'autres chrétiens, par faiblesse, ne sont pas persuadés qu'une telle liberté est divinement permise. Jusqu'où le principe impliqué dans ceci peut être légitimement étendu, nous ne nous demandons pas ici; mais avant de considérer cette question, il est très important de fixer dans quelle mesure elle est ici réellement exprimée, et quelle est la nature précise des illustrations qui en sont données.

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