Ni prêter attention aux fables et aux généalogies sans fin, [3] ou aux disputes au sujet des pedigrees d'Abraham et de David, qui fournissent des questions plutôt que l'édification de Dieu, ou l'édification pieuse.[4] Dans certains manuscrits grecs est lu, dispensation ou économie ; et ainsi peut-être le sens qui ne contribue en rien à expliquer la dispensation de la grâce dans le mystère de l'incarnation du Christ. La construction de ce verset et du premier est imparfaite, quand il est dit, comme je t'ai désiré, rien n'étant exprimé correspondant au mot comme.

Certains le comprennent, Comme je le désirais auparavant, alors maintenant, dans cette épître, je te le désire à nouveau. La même difficulté se présente dans le texte grec comme dans le texte latin. (Witham) --- Les Juifs avaient l'habitude de se disputer et de faire des questions sans fin concernant leur origine d'Abraham, d'Isaac et d'autres patriarches, et concernant leurs différentes tribus, que leur captivité avait complètement confondues. Par conséquent, il n'y avait pas de fin à leurs questions, comment, quand, pourquoi ? qui donna lieu à de nombreuses fables, au grand trouble des fidèles. Alors qu'ils auraient dû prendre le chemin le plus court de l'édification, qui était de s'en tenir à ce qui était de la foi. (Saint Ambroise)

[BIBLIOGRAPHIE]

Interminatis, grec : aperantois, infinitis, sine fine.

[BIBLIOGRAPHIE]

\'c6dificationem Dei, grec : oikodouian Theou ; ce qui, je pense, pourrait aussi bien se traduire par édification pieuse. Quelques manuscrits, grec : oikonomian.

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