Cette loi du Deutéronome. (Ménochius) --- Certains pensent qu'il avait écrit si loin avant de venir à l'assemblée, ainsi que le Cantique ; parce que Dieu lui a commandé de même de monter sur la montagne, chap. xxxii. 48. (Calmet) --- Mais Moïse n'a pas prononcé les discours enregistrés dans ce livre, à un moment donné. Après avoir donc congédié le peuple avec sa bénédiction et avec l'assurance que Dieu serait leur chef nouvellement nommé, il s'est engagé à écrire ce qu'il avait prononcé par ordre de Dieu, à différents moments, et a donné une copie du Pentateuque à les prêtres, qui devaient le garder soigneusement sur le côté de l'arche, et l'expliquer au peuple, en particulier tous les sept ans.

Les Juifs comprennent que cette loi signifie tout le Pentateuque. Il peut également désigner, plus particulièrement (Haydock) Deutéronome, jusqu'à ce lieu, ou le 27e, et trois chapitres ultérieurs de celui-ci. Il a donné deux exemplaires; l'un devant être déposé à côté de l'arche, et l'autre (v. 26) devant être gardé par les prêtres. Dans tous les contrats d'importance, cette méthode est observée, une copie étant soigneusement déposée par, et l'autre laissée entre les mains de ceux qui peuvent être concernés, Jérémie xxxii.

12. Les rabbins disent que 13 copies ont été prises ; un pour chacune des 12 tribus et un à placer sur le côté de l'arche. Mais de cette nouvelle affirmation, nous ne devons pas nous attendre à entendre aucune preuve. --- Les prêtres, dont le devoir est d'instruire le peuple, Matthieu ii. 7. (Calmet) --- Anciens, ou magistrats, qui doivent mettre la loi en exécution, et guider leurs décisions par elle. (Haydock) --- La mention de l' arche à cet endroit est pour insinuer que le livre devait être déposé d'un côté, v.

26. Les prêtres pouvaient porter l'arche, s'ils le jugeaient approprié, (Ménochius) comme ils le faisaient parfois dans les occasions les plus solennelles ; (Josué iii., et vi., et 1 Rois iv. 4,) bien que le devoir appartenait aux Lévites, Nombres iii., et iv. Les païens plaçaient leurs livres sacrés dans leurs temples, sous la garde des prêtres, qui étaient obligés de les transcrire. (Calme)

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