Et l'arche reposait sur les montagnes d'Arménie. Le mot hébreu est Ararat, qui apparaît également au 37e chap. d'Isaias, et le 51e de Jérémie ; car dans ces endroits notre interprète a retenu le mot hébreu, mais dans le 4e livre des Rois, XIX. 37, où la même histoire est racontée, elle est traduite par la terre des Arméniens. (Estius) --- Septième mois, de l'année, pas du déluge, comme il ressort du v.

13, etc. (Ménochius). --- Sept et vingtième. De même aussi la Septante, mais l'hébreu, etc. avoir le 17. Il n'est pas facile de décider ce qui est juste. Le dix-sept, les eaux ne commencèrent à diminuer que, et certains plaident donc en faveur de la Vulgate, car ils disent qu'il n'est pas probable que l'arche s'arrêterait ce jour-là. (Calmet) --- Ceci, cependant, pourrait être le seul moyen par lequel Noé pouvait discerner que les eaux diminuaient.

(Haydock) --- L'arche étant d'environ quatorze coudées enfoncée dans l'eau, pourrait bientôt toucher le sommet des plus hautes montagnes, comme le mont Taurus, dont l' Ararat, mentionné ici en hébreu, une montagne d' Arménie, forme une partie, selon saint Jérôme. Les Arméniens se vantent encore d'avoir les restes de l'arche. Berosus, l'historien païen, dit que le bitume en a été extrait comme agent de conservation.

(Josephus, Antiquités i. 3; Eusèbe, præp. ix. 4.) La Chaldée a Cordou pour Ararat, d'où certains ont supposé que l'arche reposait sur les montagnes cordyéennes ou gordiennes. Les Arméniens appellent la montagne près d'Erivan, Mesesonsar, ou la montagne de l'arche. (Calme)

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