Jugement. Chaldéen, " ma règle de jugement ". Septante : " Vive le Seigneur, qui m'a ainsi jugé. " Symmaque, "a méprisé mon jugement". L'expression semble très dure, et peut être une de celles que Dieu blâme, chap. xl. 3. (Estius) (Calmet) --- Pourtant nous examinerons ce point plus loin, chap. xli. (Haydock) --- Il peut seulement vouloir dire qu'il est si bien convaincu de son innocence, qu'il appelle Dieu à en être témoin, (Calmet) et adore ses voies, (Haydock) en ne lui permettant pas de comparaître devant son tribunal, ( Calmet) pour se justifier ; (Ménochius) ainsi il est abandonné aux jugements téméraires des autres, chap. xxxiv. 5. Isaias (xl. 27.) et Sophonias (iii. 15.) parlent en des termes similaires. (Calmet) --- Dieu a différé la sentence, pour la plus grande épreuve de Job. (Worthington)

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