1 Corinthiens 15:54

I. La mort en ce monde est la grande dévoreuse. Il engloutit tous les êtres vivants. Le pouvoir n'a pas d'arme pour résister à son attaque. Worth n'a aucune protection contre sa rancune, ni la sagesse contre ses règles. Aucun n'est assez humble pour être négligé et plaint. Aucun n'est assez bon pour être vénéré et épargné. Aucun n'est assez élevé pour avoir le droit de le tenir à distance. Le roi des terreurs, redoutable à tous, n'a lui-même peur de personne. Il saisit et engloutit toute la famille de l'homme. Mais le destructeur sera lui-même détruit.

II. "La mort est engloutie dans la victoire." C'est la victoire qui engloutit la mort. C'est la deuxième idée suggérée par l'oracle. Et il admet d'être subdivisé en deux. En premier lieu, la mort est engloutie, ou détruite victorieusement, triomphalement, définitivement et pour toujours. En second lieu, la mort est engloutie et détruite, fusionnée et perdue, dans la victoire. Dans les deux cas, la victoire est sur le terrain, déterminant, d'une part, le mode de destruction de la mort, et d'autre part, le fruit de celle-ci.

En premier lieu, la mort est engloutie ou détruite dans la victoire ; victorieusement, en plein champ, en combat ouvert et en triomphe. C'est par la conquête ouverte que la ruine de la mort s'effectue, et non par la furtivité et le stratagème. La victoire dans laquelle la mort est engloutie, l'Apôtre l'a déjà décrite dans une partie précédente du chapitre. C'est la restitution de toutes choses. C'est l'avènement glorieux du Seigneur.

Il revient triomphalement sur cette terre qui fut le théâtre de ses souffrances et de sa honte. Et à son apparition lumineuse, ses saints sortent de leurs tombeaux dans une beauté immortelle, et un monde rénové se réjouit de la vie sans fin, du soleil immuable et sans nuage du paradis enfin restauré.

RS Candlish, La vie dans un sauveur ressuscité, p. 248.

Référence : 1 Corinthiens 15:55 . Todd, Conférences aux enfants, p. 99.

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