Car le Fils de l'homme viendra dans la gloire de son Père.

La venue du Fils de l'Homme

1. Le jugement du monde a été confié au Fils en tant que Médiateur, comme un honneur approprié pour Celui qui s'était humilié pour la rédemption du monde.

2. Christ est qualifié pour être Juge, en tant que Fils de Dieu, de la même essence que le Père ; les perfections de la Divinité apparaîtront glorieuses en lui.

3. Les saints en jugement seront manifestés comme ceux qui font la volonté de Dieu sur terre.

4. L'œuvre du Juge ne sera pas de justifier ou de rendre justes, mais de prouver aux saints par leurs œuvres qu'ils sont déjà justes.

5. Les hommes seront jugés sur leurs œuvres, pour montrer que Dieu dans l'œuvre du salut de l'homme soutient la cause de la sainteté infinie.

6. Le jugement ne sera pas selon les œuvres visibles aux hommes, mais pour toutes faites en secret.

7. Le jugement selon les œuvres condamnera les impies et les rendra muets devant Dieu. ( D. Charles. )

I. Le fils de l'homme Comme l'Un promis, manifesté, est monté.

II. Sa réapparition sur terre Prévue, possible, nécessaire.

III. Sa gloire surhumaine. Son héraut, personne, suite est glorieux.

IV. Son œuvre importante. Ressusciter les morts, changer les vivants, juger tous, récompenser chacun, remettre les rênes du gouvernement entre les mains de son Père. ( A. Macfarlane. )

I. Que le Seigneur Jésus-Christ revienne sur cette terre comme un homme dans la gloire de Dieu avec Ses anges.

II. Que tous les croyants de Christ apparaissent avec Lui.

III. Le Seigneur, à sa venue dans sa gloire, récompensera chacun selon ses œuvres. ( H. McNeile. )

Une terrible prémonition

Comparée au châtiment qui sera infligé aux impies à la venue du Christ, la mort de la nature n'est rien.

I. La mort du pécheur n'est qu'un faible présage du malheur du pécheur à la venue du Fils de l'homme dans sa gloire.

1. Nous pouvons faire mais peu de comparaison entre les deux dans le temps. La mort physique n'est que l'œuvre d'un instant ; le sort des méchants quand Christ viendra ne mourra jamais.

2. Au point de perte, il n'y a pas de comparaison.

3. La mort n'entend pas non plus de comparaison avec le jugement dernier au point de vue de la terreur.

4. Les douleurs de la mort ne sont pas comparables aux douleurs du jugement du second avènement.

II. Dans l'état d'esprits séparés, ils n'ont pas pleinement goûté à la mort, et ils ne le feront pas jusqu'à ce que Christ vienne. Jusqu'au second avènement, leurs corps ne souffrent pas ; ils savent que cet état actuel prendra fin, après le jugement sans fin ; ils n'ont pas été mis à la honte d'une sentence publique. ( CH Spurgeon. )

En attendant la venue du Christ

J'ai vu un tableau l'autre jour dans une vitrine de magasin, ce qui m'a beaucoup plu ; il représentait une pièce dans laquelle était une fenêtre donnant sur la mer ; une dame au visage grave et inquiet était assise près de la fenêtre, et deux petits enfants jouaient sur le tapis. Sur la table gisait une lettre qui semblait avoir été ouverte, et contre le mur était accroché le portrait d'un gentilhomme. Il y avait très peu d'écriture sous l'image, et très peu de choses étaient nécessaires ; car je pouvais comprendre l'histoire que le tableau était destiné à raconter, aussi clairement que si le peintre me l'avait racontée lui-même.

Le père de ces petits enfants était évidemment absent d'eux au-delà de la mer. Il y avait son portrait, mais il était loin. Mais il leur avait envoyé une lettre contenant la joyeuse nouvelle qu'il rentrait à la maison ! Et ainsi il y avait la mère assise à cette fenêtre, jour après jour, et regardant à travers les larges eaux, dans l'espoir de voir enfin les voiles blanches du navire qui devrait ramener celui tant attendu à la maison. Maintenant, cette image, je pense, peut nous rappeler ce que le Seigneur Jésus avait l'habitude de dire à ses disciples au sujet de son « retour ». ( Prêt pour le travail. )

Continue après la publicité
Continue après la publicité