4. Grande est mon audace. Maintenant, comme s'il avait obtenu l'élargissement du cœur qu'il avait désiré de la part des Corinthiens, il cesse de se plaindre et se déverse de bonne humeur. «Quel besoin y a-t-il que je consacre autant de travail à une question déjà accomplie? Car je pense avoir déjà ce que j'ai demandé. Car les choses que Titus m'a rapportées à votre égard ne sont pas seulement suffisantes pour apaiser mon esprit, mais me permettent également de me glorifier avec confiance sur votre compte (637) Bien plus, ils ont efficacement dissipé le chagrin que m'avaient occasionné de nombreuses et grandes afflictions. Il avance pas à pas, en guise d'orgasme; pour se glorifier est plus qu'être d'un esprit tranquille et tranquille; et étant libéré du chagrin occasionné par de nombreuses afflictions, est plus grand que l'un ou l'autre. Chrysostom explique cette audace un peu différemment, de cette manière - «Si je traite avec vous le plus librement, c'est sur ce compte, que, s'appuyant sur l'assurance de votre bonne volonté envers moi, je pense que je peux prendre tant de liberté avec vous. J'ai cependant énoncé ce qui me paraissait être le sens le plus probable - que le rapport de Titus avait éliminé l'impression défavorable qui l'avait auparavant troublé. (638)

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