21. Quiconque fera appel à Un excellent endroit. Car comme Dieu nous pique en avant comme des ânes paresseux, avec des menaces et des terreurs pour chercher le salut, se, après qu'il a apporté les ténèbres sur la face du ciel et de la terre, il montre cependant un moyen par lequel le salut peut briller devant nos yeux, pour esprit, si nous l’avons appelé. Car il faut bien noter cette circonstance. Si Dieu promettait simplement le salut, c'était une grande affaire; mais c'est bien plus grand quand il promet la même chose au milieu de multiples donjons de la mort. Tant que (dit-il) toutes choses seront en dérangement et que la crainte de la destruction possédera toutes choses, invoquez-moi seulement, et vous serez sauvés. Par conséquent, quelle que soit la manière dont l'homme a été englouti dans le gouffre des misères, il y a encore un moyen de s'échapper devant lui. Nous devons aussi noter le mot universel, quiconque Car Dieu admet tous les hommes à lui sans exception, et par ce moyen il les invite au salut, comme Paul les rassemble en le dixième chapitre aux Romains, et comme le prophète l'avait écrit auparavant,

"Toi, Seigneur, qui entends la prière,
à toi viendra toute chair »,
(
Psaume 65:2.)

Par conséquent, tant qu'aucun homme n'est exclu de l'invocation de Dieu, la porte du salut est ouverte à tous les hommes; il n'y a pas non plus d'autre chose qui nous empêche d'entrer, sauf notre propre incrédulité. Je parle de tous ceux à qui Dieu se manifeste par l'évangile. Mais comme ceux qui invoquent le nom du Seigneur sont sûrs du salut, nous devons penser que, sans cela, nous sommes trois fois malheureux et perdus. Et quand, comme notre salut est placé dans l'appel à Dieu, rien dans la saison moyenne n'est retiré de la foi, dans la mesure où cette invocation est fondée sur la foi seule. Il y a aussi une autre circonstance non moins digne de mention; en ce que le prophète signifie que l'appel à Dieu appartient et s'accorde correctement jusqu'aux derniers jours. Car, bien qu'il soit appelé à tous les âges, malgré qu'il se soit montré un Père en Christ, nous avons le plus facilement accès à lui. Quelle chose doit à la fois nous enhardir davantage et nous enlever toute lenteur. Comme lui-même le raisonne aussi, que par ce privilège notre impertinence à prier nous est doublée: «Jusqu'à présent, vous n'avez rien demandé en non nom; Demandez et vous recevrez;" comme s'il devait dire, jusqu'ici, bien que je ne paraisse pas encore être un médiateur et un avocat dans la foi, pourtant vous avez prié; mais maintenant, quand vous aurez moi pour être votre patron, avec combien plus de courage devriez-vous faire cela?

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