20. Car nous ne pouvons pas Beaucoup de choses que l'on découvre en entendant et en voyant peuvent, oui , doit être dissimulée, alors que la question concerne le rachat de la paix. Car c'est un point de manque de courtoisie et d'obstination méchante à bouger et à soulever un tumulte sur des questions inutiles; mais les apôtres ne parlent pas en général, alors qu'ils ne peuvent que parler. Car l'Évangile du Christ est maintenant en main, dans lequel consiste à la fois la gloire de Dieu et le salut des hommes. C'est une chose non rencontrée, et une méchanceté sacrilège, que la même chose soit supprimée par des interdictions et des menaces (216) des hommes; car Dieu commande que son Évangile soit prêché, d'autant plus qu'ils savaient qu'ils avaient été choisis pour être témoins et prédicateurs du Christ, et que Dieu avait ouvert la bouche. Par conséquent, quiconque les fait taire, s'efforce autant qu'il est capable d'abolir la grâce de Dieu et de pardonner [détruire] le salut des hommes. Et s'il en est ainsi qu'une interdiction si méchante nous arrête la bouche, malheur à notre paresse. Maintenant, que tous les hommes voient quelle confession Dieu exige de leurs mains, de peur que, lorsqu'ils se taisent à cause des hommes, ils entendent une voix effrayante sortir de la bouche du Christ, par laquelle leur infidélité sera condamnée. Et quant à ceux qui sont appelés à la fonction d'enseignant, qu'ils soient terrifiés sans menaces d'hommes, sans couleur d'autorité, mais qu'ils exécutent (217) cet office qu'ils connaissent leur est enjoint par Dieu. Malheur à moi, dit Paul, si je ne prêche pas l'Évangile, parce que la fonction m'est confiée, (1 Corinthiens 9:10.) Nous ne devons pas non plus établir ce commandement de Dieu contre les commandements tyranniques des hommes, mais aussi contre tout ce que Satan insiste souvent pour rompre et entraver le cours de l'Évangile. Car nous avons besoin d'un bouclier solide pour supporter de telles agressions douloureuses, que ressentent tous les ministres du Christ; mais quelle que soit notre vitesse, c'est un mur d'airain, que la prédication de l'Évangile plaise à Dieu, et par conséquent qu'elle ne peut sans cause être supprimée.

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