18. Et connaît sa volonté et approuve les choses excellentes, etc. Il concède maintenant à eux la connaissance de la volonté divine et l'approbation des choses utiles; et cela, ils l'avaient atteint de la doctrine de la loi. Mais il y a une double approbation, une de choix, quand nous embrassons le bien que nous approuvons; l'autre du jugement, par lequel en effet nous distinguons le bien du mal, mais en aucun cas nous nous efforçons ou ne désirons le suivre. Ainsi, les Juifs étaient si instruits dans la loi qu'ils pouvaient juger la conduite des autres, mais ne prenaient pas soin de régler leur vie en fonction de ce jugement. Mais comme Paul réprouve leur hypocrisie, nous pouvons, d'un autre côté, conclure que les choses excellentes ne sont alors correctement approuvées (pourvu que notre jugement procède de la sincérité) lorsque Dieu est attentif; car sa volonté, telle qu'elle est révélée dans la loi, est ici désignée comme guide et enseignant de ce qui doit être justement approuvé. (79)

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