Sisera, selon le code de l'époque, en entrant dans la tente de Jaël, avait droit à une protection. Une prophétesse, a-t-on demandé, pourrait-elle invoquer une bénédiction sur un acte de pure trahison ? (cf. Juges 4:17 ). Il peut y avoir eu des circonstances atténuantes que nous ignorons ; plus probablement le v. est simplement un énoncé de la joie du poète à un acte sans lequel la victoire aurait été imparfaite, et aurait pu s'avérer infructueuse : voir Intro. § 7. Femmes sous la tente ] Bédouines : nomades.

25, 26. Ces vv. ne disent rien sur Sisera s'étant couché pour dormir, et ils suggèrent qu'il a été tué en buvant (notez 'frappé' au lieu de frappé à travers') : mais (voir Juges 5:27 ) ce n'est pas absolument nécessaire.

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