Et un jour fixe Quand des spectacles et des jeux ont été exposés par lui en l'honneur de Claudius César; Hérode, vêtu de vêtements royaux dans un vêtement si travaillé avec de l'argent, que les rayons du soleil levant, frappant dessus et réfléchis par lui, éblouissaient les yeux des spectateurs ; assis sur son trône dans un théâtre public; et leur fit un discours non pas seulement aux députés tyriens et sidoniens, mais à tout le peuple assemblé en cette grande occasion. Et le peuple poussa un cri, c'est la voix d'un dieu, et non d'un hommeUne telle flatterie profane que les païens faisaient fréquemment aux princes. Mais la banalité d'une mauvaise coutume augmente plutôt qu'elle n'en diminue la culpabilité. Et le malheureux roi, au lieu d'exprimer une juste indignation contre une adulation aussi basse et impie, l'écouta avec un plaisir secret. Et immédiatement Car souvent Dieu ne tarde pas à justifier son honneur blessé; un ange du Seigneur le frappa De cela, les autres historiens ne disent rien ; il y a une si grande différence entre l'histoire divine et l'histoire humaine ! Un ange du Seigneur fit sortir Pierre, un ange frappa Hérode.

Les hommes n'ont vu les instruments dans aucun des cas : ceux-ci n'étaient connus que du peuple de Dieu. Parce qu'il n'a pas donné à Dieu la gloire, il n'a pas rejeté ces applaudissements blasphématoires, mais les a volontiers reçus, et a ainsi rempli la mesure de ses iniquités. Alors la vengeance ne tarda pas. Et il fut mangé de vers ou de vermine, qui se reproduisaient dans ses entrailles, et lui rendaient un spectacle des plus détestables et horribles autour de lui ; et il rendit l'esprit Expiré dans l'agonie et l'infamie, (comme son grand-père, Hérode le Grand, l'avait fait, voir sur Matthieu 2:19,) et descendit autant au-dessous de l'état commun de la nature humaine, que ses flatteurs s'efforçaient de l'élever au-dessus ! L'historien juif Josèphe confirme le récit de saint Luc sur la fin de cet homme misérable. Il nous dit que « comme il ne réprimandait pas la flatterie impie qui lui était adressée, il fut immédiatement saisi de tortures exquises et déchirantes dans ses entrailles, de sorte qu'il fut contraint, avant de quitter les lieux, d'avouer sa folie en admettant de telles acclamations, et reprochaient à ceux qui l'entouraient l'état misérable dans lequel ils voyaient alors leur dieu ; et étant conduit hors de l'assemblée dans son palais, il mourut dans de violentes agonies, le cinquième jour après sa prise, dans la cinquante-quatrième année de son âge et la septième de son règne. Antiq., Actes 19:7 .

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