Il ne savait rien de ce qu'il avait persuadé de la fidélité et de la diligence de Joseph, et comptant sur ses soins, il ne prit aucune part à la gestion de ses propres affaires, mais les laissa entièrement à ce jeune mais fidèle Hébreu. Le domestique avait tous les soins et tous les soucis du domaine, et le maître n'en avait que la jouissance. Dans ce Potiphar est un exemple à ne pas imiter par aucun maître, à moins qu'il ne puisse être sûr qu'il en avait un comme Joseph pour serviteur.

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