Le cœur connaît sa propre amertume Les peines et les joies intérieures du cœur des hommes, bien qu'elles puissent parfois se manifester en partie par des signes extérieurs, ne sont pourtant certainement et pleinement connues que par les personnes elles-mêmes qui en sont les sujets ; ou, comme l'évêque Patrick paraphrase le verset : « Personne ne peut savoir ce qu'un autre souffre aussi bien que celui qui souffre lui-même ; et lui seul est au courant de la grandeur de cette joie qui jaillit de l'heureuse conclusion de ses souffrances. La portée du proverbe peut être, d'empêcher les hommes de murmurer sous leurs propres problèmes, ou d'envier le bonheur des autres hommes.

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