Pourquoi est-ce que je prends ma chair entre mes dents, etc. ? C'est -dire : « Vous me demandez pourquoi je devrais considérer mon cas comme si désespéré ? (car c'est le sens de ces phrases.) croyez-vous que Dieu vous délivrera de vos ennuis ? Il semble que vous ayez eu conscience d'une méchanceté qui vous rendrait indigne d'une telle délivrance. Job répond immédiatement à cette accusation : « Ce n'est pas le manque d'espérance ou de confiance en Dieu, causé par une méchanceté dont je suis conscient, qui me fait ainsi désespérer de ma condition ; car, bien qu'il me tue, ( Job 13:15 .) mais vais - je faire confiance en lui, mais encore je vais moi maintenir propres moyens, ma propre intégrité devant lui, Job 13:16 .

Lui aussi sera mon salut ; car un hypocrite, — un sycophante, ou un faux accusateur, comme le mot hébreu chanep, signifie parfois, — ne viendra pas devant lui, pour m'accuser de crimes dont je ne suis pas coupable, dans le jugement futur. » Si nous comprenons le mot rendu hypocrite dans sa signification ordinaire, il aura un bon sens : comme ainsi, il sera aussi mon salut, car je ne suis pas hypocrite. Ici Job donne un tour très poétique à son discours, se suppose comme déjà mort, et se tenant devant le tribunal de Dieu ; et ordonne à ses amis, comme dans cette terrible présence, de dire ce qu'ils avaient à lui reprocher ; Job 13:17 .

Comme s'il avait dit : « Je m'adresse à mon procès et je plaide non coupable ; Job 13:19 : Job 13:19 . Qui est-ce qui va plaider l'affaire avec moi ? Car maintenant je vais me taire et expirer. C'est l'hébreu, rendu aussi littéralement que possible ; et le sens, je pense, est clair; à savoir : « Qui est-ce qui portera plainte contre moi ? car vous devez maintenant me considérer comme mort et devant le tribunal de Dieu. Les traducteurs, qui prenait certainement le sens des mots, ont ajouté un si, et si gâté tout le tour de la phrase ainsi: Pour l' instant si je me tais, je donnerai le fantôme: mais il n'y en a si en l'hébreu.

C'est littéralement comme rendu ci-dessus. Ici donc, il faut supposer que Job interrompt un instant son discours, pour voir si ses amis oseraient l'accuser de quelque chose lorsqu'ils sont convoqués devant le juge suprême, de cette manière solennelle et touchante : et comme ils n'avaient crime de l'accuser, rien qu'un soupçon sans fondement contre lui, nous pouvons conclure, qu'ils doivent rester aussi silencieux à cette occasion que Job, et comme s'ils avaient expiré avec lui : sur lequel ce saint homme semble se rappeler, et, comme craignant d'avoir été trop hardi dans son appel, s'adresse dans les vers suivants au juge lui-même ; le suppliant, de la manière la plus soumise, avant qu'il n'entre en jugement avec lui, de lui accorder deux choses : de lui retirer sa main affligeante et de voiler les terreurs de sa majesté, qu'il ne le frappât pas d'une trop grande terreur ; et puis l'interroger, et il répondrait ; ou permettez-lui de parler, et daignez lui dire quelle était sa culpabilité et quelles étaient les raisons de ces graves afflictions. Voir les versets 20 et suivants. Ce beau passage montre évidemment, ainsi que plusieurs autres dans ses discours, que Job attendait avec impatience un jour de jugement, où il espérait avoir son innocence innocentée. Voir Peters, p. 165, 166. quand il espérait que son innocence soit innocentée. Voir Peters, p. 165, 166. quand il espérait que son innocence soit innocentée. Voir Peters, p. 165, 166.

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