Frères, je ne compte pas moi-même, etc. — Non, mes frères, je ne m'imagine pas être encore arrivé au but ; mais cette seule chose que je fais : indépendamment de ce qui est derrière, et dans l'intention seulement d'atteindre ce qui est avant, je me précipite vers la cible, pour le prix auquel Dieu m'a appelé d'en haut par Christ Jésus. Heyline. M. Peirce pense que la construction grammaticale la plus exacte des mots est celle-ci : « Je presse après cette seule chose pour laquelle j'ai été appréhendé par Jésus-Christ, afin que je puisse l'appréhender ou l'atteindre ; avant.

Après cette seule chose (je dis) je presse, selon le but que je me suis fixé, d'obtenir le prix de la haute vocation », etc. Mais la construction peut être assez claire, en fournissant (comme dans notre traduction ) les paroles que je fais, ou que je peux dire. L'Apôtre continue son allusion aux Jeux Olympiques, et surtout aux courses à pied, qui en ont fait la partie la plus célèbre ; où le prix a été placé dans une situation très visible, de sorte que le les concurrents pourraient être animés de l'avoir encore en vue.

Certains interprètes pensent que l'Apôtre compare notre Seigneur dans ce verset à ceux qui se tenaient sur une place élevée à la fin du parcours, appelant les coureurs par leurs noms et les encourageant, en tendant la couronne, à s'exercer avec vigueur. Mais il semble plus cohérent d'interpréter la haute vocation, comme faisant allusion à la proclamation par laquelle les hommes étaient appelés avant l'ouverture du parcours à lutter pour tel ou tel prix ; qui répond à la déclaration générale du prix céleste faite dans l'évangile.

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