Si quelqu'un d'autre pense, etc. — On peut à peine supposer qu'il n'y en avait absolument personne qui pût prétendre aux mêmes motifs de confiance dans la chair, que saint Paul mentionne ici. Son expression doit donc être limitée à ce qu'il avait en vue. S'il n'y avait qu'une personne à Philippes qui cherchait à les séduire, sans doute il parle ici de lui ; mais s'il y en avait plus, on peut penser qu'il vise l'homme principal d'entre eux, car il semble ici ne parler que d'une seule personne.

Son sens est donc : « Si la personne qui essaie de vous attirer dans le judaïsme, pense qu'elle a des raisons d'avoir confiance en la chair, je suis capable de la dépasser dans toutes ses prétentions. Il est habituel chez l'Apôtre de parler d'une manière si secrète et délicate de ce genre d'hommes. Voir 1 Corinthiens 3:10 . 2 Corinthiens 7:11 : 2 Corinthiens 7:11 ; 2 Corinthiens 11:4 ; 2 Corinthiens 12:16 .

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