Car il ne porte pas l'épée en vain. Cela suggère fortement la légalité d'infliger des peines capitales ; nier ce qui est en effet subvertir l'usage principal des magistrats ; bien que les lois sanguinaires devraient être évitées autant que possible. Bengelius lit la première clause de ce verset : Car il est le ministre de Dieu, pour ton bien ; et la dernière clause, Car il est le ministre vindicatif de Dieu, pour une terreur au malfaiteur. Voir Heinsius et Wetstein.

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