Mais la viande nous a recommandé de ne pas Dieu, ... Ces mots sont dites par l'apôtre, soit comme étant exprimant l'argumentation de la part de la connaissance de lui-même, que ce qu'ils ont fait était une chose indifférente, par laquelle ils n'ont été faits ni mieux ni pire; Ils ne l'ont pas non plus considéré comme méritoire ou n'attendent-ils aucune faveur de Dieu en résumé, et ne devaient donc pas être blâmées d'avoir utilisé leur liberté de la manière dont ils l'ont fait: sinon ils sont parlés par lui comme son propre sens: et Le sens est que la consommation de viande, une sorte de viande, et donc ce qui est offert aux idoles ou à l'abstinence, ni l'autre ni l'autre ne recommande à l'amour et à la faveur de Dieu; קארבא, "n'apporte pas près", ni donner accès à Dieu, car la version syriaque rend la phrase; n'ingare aucun dans ses salutations affectueuses ou ne les rend pas acceptables à lui:

Car ni si nous mangeons, sommes-nous meilleurs; ou "abonder", pas dans des choses terrestres mais spirituelles, dans les grâces de l'Esprit, et en particulier dans l'estime et la bonne volonté de Dieu, sur laquelle une telle action ne peut avoir aucune influence:

ni si nous mangeons pas, n'est-ce pas le pire; ou sont déficients; ce qui signifie pas dans des choses temporelles, mais comme avant, dans spirituel; La vraie grâce et la piété ne sont pas une blotque moins; Les personnes ne sont pas non plus moins dans l'amour et la faveur de Dieu, qui ne doit pas être connue et jugée par une telle action, ni l'omission de celui-ci.

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