Ma bien-aimée [est] la mienne, et je [suis] son, ... ce sont les mots de l'église; L'OMS, ayant eu de telles preuves de l'amour de Christ, et de l'entretien d'elle, exprime sa foi d'intérêt pour lui et suggère les obligations qu'elle repose sous l'observation de ses commandes. Les mots sont expressives de l'intérêt mutuel avaient la propriété Christ et son église se trouvent l'un dans l'autre: Christ est l'église, par le don du père de lui, d'elle, d'être sa tête, son mari et sa sauveur; et par le don de lui-même à elle, être son rédempteur et son rançon Price; et par mariage, l'avoir épousé à lui-même, de justice et d'amoureux; et par la possession, il vivait et habitèrent en elle, par son esprit et sa grâce: l'église se reconnaît également d'être la sienne, comme elle l'était, par le don du père d'elle à Christ, comme son conjoint et sa mariée, sa part et son héritage; et par achat, il l'a achetée avec son précieux sang; et par la conquête d'elle, par sa grâce dans un appel effectif; et par une remise volontaire d'elle-même à lui, sous l'influence de sa grâce: d'où tout ce qu'il est, et a, siennes, sa personne, sa plénitude, son sang et sa justice; et donc ne peut vouloir aucune bonne chose. De plus, ces mots suggèrent le proche syndicat il y a entre Christ et son église; Ils sont un dans une relation conjugale, comme le mari et la femme en sont un; quelle union est personnelle, de toute la personne du Christ à l'ensemble des personnes de son peuple; C'est un esprit spirituel, ils ayant le même esprit, celui sans mesure, l'autre dans la mesure; Il est essentiel, comme entre la vigne et ses branches; Et c'est mystérieux, à côté de celui de l'union des trois personnes dans la divinité, et des deux natures de Christ; C'est un indissoluble, l'amour éternel du Christ étant le lien de celui-ci, quel appel n'est jamais dissous; Et de cette union, dirigez une communication des noms du Christ à son église, la conformité à lui, la communion avec lui et un intérêt pour tout ce qu'il a. De même, ces phrases expriment l'affliction mutuelle, la complaisance et le plaisir, le Christ et son église se présentent dans l'autre; Il est aimé par son église et elle par lui; Elle semble avoir une assurance complète d'intérêt pour lui et de lui vanter de lui; à l'exclusion de tous les autres bien-aimés, aussi indigne d'être mentionné avec lui: dont elle dit en outre,.

Il nourrit parmi les lis; qui est soit une apostrophe à lui, "O Thou qui nous a nourri", c. Tu n'es que mon bien-aimé ou qui est descriptif de celui-ci aux autres, en question qui, à savoir qui, et où être vu: la réponse est, il est la personne qui est là-bas, se nourrissant parmi les lis; Recréer et se ravir dans ses jardins, les églises, où sont ses saints, comparables aux lis; Cantique des Cantiqu 2:1, et.

Cantique des Cantiqu 2:2; Ou nourrir ses moutons dans des champs où les lis poussent: et on peut observer, il n'est pas dit, il nourrit, ou nourrit son troupeau avec des lis, mais parmi eux; Car il est remarqué Y, que les moutons ne les mangent pas: ou le sens peut être, Christ se nourrit de lui-même et nourrit son peuple et nourrit d'eux, comme s'il était couronné de lis et oint de l'huile d'entre eux; Comme c'était la coutume des anciens des festivals Z, pensa être ici mentionné par certains qui ont lu les mots "cela nourrit"; C'est-à-dire que dans ou avec des lis, étant oints et couronnés avec eux. Le lis est une fleur d'été A; L'hiver était maintenant passé, Cantique des Cantiqu 2:11.

y tuccius à Soto majeur dans LOC. z vid. Fortunat. Schacc. ELEOCHRYSM. Sacrer. l. 1. c. 28. p. 137. Un théophontrast. apud Athenaeum à Deipnosoph. l. 15. c. 7. p. 679.

Continue après la publicité
Continue après la publicité