Et quand ce peuple, ou le prophète, ou un sacrificateur, t'interrogera en disant : Quel [est] le (b) fardeau de l'Éternel ? tu leur diras alors : Quel fardeau ? Je t'abandonnerai même, dit l'Éternel.

(b) Les prophètes appelaient leurs menaces le fardeau de Dieu, que les pécheurs n'étaient pas en mesure de supporter, c'est pourquoi les méchants, en se moquant de la parole, demandaient aux prophètes quel était le fardeau comme s'ils disaient : « Vous ne cherchez rien d'autre, mais de mettre des fardeaux sur nos épaules" et ainsi ils ont rejeté la parole de Dieu comme un fardeau douloureux.

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