RÉFLEXIONS

Lecteur! arrêtez-vous sur le récit solennel, très solennel et terrible donné ici du grand et terrible jour de Dieu, dont on parle si souvent dans les Écritures, et si certain et sûr. Pensez à l'ampleur des jugements qui atteindront alors les impies. Car si le juste est à peine sauvé, où apparaîtront l'impie et le pécheur. Oh! quelle pâleur, horreur et consternation éternelle saisiront alors tout pécheur sans Christ, lorsqu'il comparaîtra devant le juge de toute la terre sans avocat pour plaider sa cause, et dépourvu de toute justice pour justifier sa personne.

Lecteur! que puis-je demander pour vous, ou pour moi-même, comme une faveur d'un Dieu généreux en Christ, mais que maintenant, même maintenant, tandis que le jour de grâce continue, Jésus peut se lever comme le soleil de justice sur nos âmes aveugles, avec la guérison dans ses ailes. Sois toi, très cher Seigneur, notre lumière, notre vie, notre justice, maintenant et pour toujours. Oh! sois la seule grande source de notre paix, qui as été la confiance et l'espérance de ton Israël ; et comme tu as été fait malédiction pour ton peuple, ainsi puissent-ils devenir justice de Dieu en toi.

Adieu Malachie ! adieu jusqu'à ce que nous nous retrouvions en ce grand jour de Dieu. Que ce soit la part de l'écrivain et du lecteur de rencontrer tous les Malachies et les Élie de notre Dieu d'alliance en ce jour-là, quand Jésus viendra faire ses bijoux, et au milieu de l'armée des patriarches, des prophètes et des apôtres, pour louez Dieu et l'Agneau aux siècles des siècles.

Et maintenant, lecteur, comme pour cette partie de mon commentaire, je ferme le volume sacré des écritures de l'Ancien Testament, je vous supplie une fois pour toutes, et enfin, et entièrement, que vous pliez le genou dans la prière comme l'auteur l'a fait auparavant vous, que le Seigneur bénira tout ce qu'il contient, dans la mesure où il est agréable à ses vérités saintes et éternelles, et pardonnera tout ce qui ne va pas, que la faiblesse humaine, l'ignorance et l'infirmité ont fait naître, dans ce faible effort. être utile à la maison du Seigneur.

Que cet Agneau de Dieu qui porte le péché, qui ôte les iniquités de nos choses les plus saintes, purifie tout ce qui est ici impur et impur. C'est mon intention, si le Seigneur favorise un tel dessein, de poursuivre de la même manière simple et humble, les différents livres du Nouveau Testament, en guise de Commentaire. Mais ceci je laisse, comme je fais tous les autres événements, bornés comme ils sont dans les limites d'une vie qui se hâte maintenant vers sa fin, à celui qui fixe à la fois le temps et le lieu de la demeure de son peuple.

En moyenne saison, j'ai ici réinstallé mon Ebenezer. Jusqu'ici le Seigneur a-t-il aidé ! Et concernant mes autres souhaits d'écrire le Commentaire pour le Nouveau Testament, comme le Seigneur m'a permis d'en terminer un sur l'Ancien ; si le gracieux Maître disait à ce sujet, comme David l'a fait remarquer à une autre occasion, je n'y prends aucun plaisir ; avec lui, je dirais docilement : Voici ! me voici, qu'il me fasse ce qu'il lui semble bon Amen.

PLYMOUTH, VICARAGE DE CHARLES,

Le jour de mon anniversaire, faire 59 ans de péché et de vanité ! 13 avril 1812

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