La promesse est pour vous. La bonne nouvelle du salut fut d'abord annoncée au Juif, puis au Gentil ; d'abord aux domestiques, puis aux étrangers, qui sont au loin. Il est assez singulier que saint Pierre, après avoir si clairement montré ici que les Gentils sont appelés à la foi, ait ensuite fait de telles objections pour aller baptiser Corneille, parce qu'il était un Gentil. Cela ne peut être concilié qu'en supposant qu'il ne connaissait pas distinctement le temps ni le mode de leur vocation. (Calme)

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