Là. Même ceux qui ont eu la vanité de revendiquer les honneurs divins, n'ont jamais pu se persuader qu'ils échapperaient à la mort. Mais le juste forme une conclusion différente du méchant. Il considère sa vie seulement comme une préparation pour l'autre, (Hébreux xi. 13., et Ephésiens II. 19.) tandis que les libertins se hâtent de profiter du plaisir éphémère, Isaias xxii. 13. Aux premiers la mort semble désirable (chap.

iv. 2., et vi. 3.) pour ces derniers, c'est un sujet de consternation ; et il préfère la créature la plus vile vivante, à la plus noble quand elle est morte. (Calmet) --- Hébreu, "pour quiconque est choisi ( yebuchar. Note marginale yechubar, "est uni") à tous les vivants, a l'espérance; pour un," &c. (Haydock) --- Les modernes suivent généralement la lecture marginale des Massorets. (Calmet) --- "Car qui vivra éternellement ?" (Symmaque) "Qui partage avec tous les vivants ? Il y a de l'espoir." (Septante) (Haydock) --- Pendant la vie seule le pécheur peut amender, chap. ii. 3. Les Gentils sont préférés aux Juifs. (Worthington)

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