Anges. Beaucoup semblent être attribués aux justes, auxquels saint Hilaire, etc., retiendrait ce privilège. Mais il est plus généralement admis que chaque personne a un ange gardien. C'était l'opinion même des païens. (Porphyrius, Ap. ii.; Clément d'Alexandrie, Strom. v.) (Calmet) --- A garder. Au lieu de cela, le tentateur a substitué et, (Matthieu iv. 6.) trouvant que cela ne répondrait pas à son objectif, (Haydock) et a déclaré que la question était de marcher et non de se précipiter.

(St. Bernard, sér. xv. p. 90.) --- Tenter de tels cours inhabituels, c'est la voie de Lucifer, (Worthington) et de tenter Dieu, comme notre Sauveur a répondu. (Berthier) --- Du père du mensonge, les hérétiques ont appris à restreindre et à mal appliquer les saintes Écritures. (Haydock) --- Dieu a hautement favorisé l'homme, en le confiant aux soins de ces sublimes ministres de sa cour, (Saint Bernard) et il nous est sûrement permis d'implorer leur aide, comme nous pouvons l'appliquer à nos semblables. -créatures pour réparation dans nos nécessités temporelles.

Refuser de le faire, sous prétexte que nous attendons tout immédiatement de Dieu, serait aller à l'encontre de sa nomination. Sinon pourquoi Dieu les a-t-il donnés pour nos gardiens, puisqu'il aurait pu tout faire sans eux ? En vain objecte-t-on que cette invocation est un culte religieux. Cela peut être ainsi nommé, parce qu'ils sont bénis et nous aident à obtenir le salut. Mais nous n'honorons que dans les dons de Dieu.

(Berthier) --- Ils nous protègent par son ordonnance, (Worthington) et la forme même de la prière, montre sous quel jour nous les regardons. Qui a osé dire à Dieu, priez pour nous ? (Ménochius)

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