La hache se glorifiera-t-elle contre celui qui s'en sert ? Ou la scie se magnifiera-t-elle contre celui qui la secoue, la tirant d'avant en arrière en coupant le bois ? Il est tout aussi insensé pour un outil de se vanter contre l'ouvrier que pour le roi d'Assyrie de s'attribuer toute la puissance qu'il ne possède que par la permission divine. Comme si la verge devait se secouer contre ceux qui la soulèvent, ou comme si le bâton se soulevait lui-même, comme s'il n'y avait pas de bois, littéralement, "comme si un bâton devait soulever" (ce qui est) " pas du bois", c'est-à-dire la personne qui le manipule.

Que la tige ou le bâton soulèvent ou secouent ceux qui les tiennent présente l'extrême de la présomption absurde. Il était donc tout à fait absurde pour le roi d'Assyrie, qui, bien qu'inconnu de lui-même, exécutait le châtiment de Dieu sur Israël, de s'attribuer la sagesse et la puissance, le dessein et le succès de cette campagne. Le mal même dans le monde est utilisé par Dieu pour servir Ses objets. Cf Genèse 50:20 . Le châtiment contre l'Assyrie est maintenant prononcé :

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