Dans l'offrande de paix, de nouveaux éléments sont manifestes. Ici, une partie devait être brûlée au feu et ainsi offerte directement à Dieu, tandis qu'une autre partie était rendue de l'autel à l'adorateur pour sa propre subsistance. Dans cette offrande, donc, le grand fait de l'accueil et de la communion établi sur la base du sacrifice et du dévouement est dépeint. C'est en effet l'offrande de paix à jamais parlant de la paix établie entre l'adorateur et Dieu.

La base de cette paix se trouve dans l'offrande à travers la mort des innocents pour les coupables, et le dévouement complet de l'adorateur à Dieu. C'est donc l'offrande suggérant la communion entre Dieu et l'adorateur lorsque toutes les raisons de désaccord ont été bannies et que la paix s'ensuit naturellement. Pour le pécheur, aucun lieu de communion n'est possible, mais dans les offrandes, la substitution est révélée comme la voie de la dédicace, qui, à son tour, admet dans une telle communion avec Dieu un sacrifice caractérisé par la paix.

Dans ces trois offrandes, le pécheur a été traité comme tel par nature. Dans chaque cas, l'offre a été volontaire. Les faits des péchés spécifiques et personnels n'ont pas été traités.

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