CXVI. Un chant de réconfort dans l'affliction. Rien ne justifie la division en deux Pss. ( a ) Psaume 116:1 , ( b ) Psaume 116:10 (LXX); le même thème sous son double aspect se poursuit partout.

Psaume 116:2 b. Lisez, et j'invoquerai le nom de Yahvé.

Psaume 116:3 . Cf. Psaume 18:4 f.

Psaume 116:6 . simple : dans le bon sens : contraste Proverbes 1:4 , etc.

Psaume 116:10a . Lis, j'ai cru : c'est pourquoi j'ai parlé (LXX, cf. 2 Corinthiens 4:13 ).

Psaume 116:11 . Traduisez ( cf. LXX), j'ai dit dans mon réveil ( mg.), tous les hommes sont une tromperie. Ils ne mentent pas, mais on ne leur fait pas confiance : ils n'ont pas le pouvoir d'aider.

Psaume 116:13 . La coupe du salut, c'est-à - dire la coupe versée en action de grâce pour la délivrance accordée. Aucun rite de ce type n'est mentionné dans l'AT, mais sur le pilier de Yehavmilk, roi de Gebal, le roi est représenté comme versant du vin devant la déesse (après la victoire).

Psaume 116:15 . Le sens est que Yahweh ne laissera pas facilement périr ses saints (voir Psaumes 4) ; le coût de leur mort est trop élevé. En d'autres termes, les pieux ont besoin de l'aide de Yahvé : Il a besoin de leur service.

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