Psaume 42:7

I. Remarquez la force de l'image qui est ici employée. Une puissance sans résistance, une détermination impassible et une certaine tristesse solennelle font des vagues de l'océan l'image la plus grandiose des calamités de la vie.

II. Essayons d'estimer l'expérience que dépeint l'image. (1) Il y a deux sphères de douleur. L'un comprend l'expérience commune de l'humanité. Chaque vie a ses labeurs, ses soucis, ses fardeaux, ses périls. Mais (2) nous entendons tout autre chose quand nous parlons de calamité, l'angoisse par laquelle une âme peut être appelée à passer, et le désespoir dans lequel elle peut être perdue. C'est la "vague après vague" qui est si épuisante. Un choc que nous pouvons maîtriser et maîtriser, mais choc après choc est écrasant.

III. Il y a une vague qu'une main forte retient, un dernier coup écrasant qui est épargné. Il n'a pas perdu ton espoir. Un certain Pilote dirige ton vaisseau agité par la tempête à travers les flots. Il ne quittera pas le gouvernail avant de t'avoir débarqué sur le rivage béni.

J. Baldwin Brown, Le dimanche après-midi, p. 252.

Référence : Psaume 42:7 . Spurgeon, Sermons, vol. xv., n° 865.

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