Pourtant, que personne ne lutte ni ne réprimande un autre.

Restriction des agences de conversion

Ici est donné un ordre du tribunal qu'aucune peine ne doit être prise avec le criminel condamné pour l'amener à la repentance, et la raison de cet ordre.

I. La commande elle-même. « Que personne ne lutte ni ne réprimande un autre. » Qu'aucun moyen ne soit utilisé pour les réduire ou les récupérer ; que leurs médecins les abandonnent comme remède désespéré et passé. Il laisse entendre que tant qu'il y a de l'espoir, nous devons réprouver les pécheurs pour leurs péchés. C'est un devoir que nous avons les uns envers les autres de donner et de recevoir des reproches. Parfois, il est nécessaire de réprimander sévèrement, non seulement de reprendre mais de lutter, tant les hommes sont réticents à se séparer de leurs péchés.

Mais c'est un signe que des personnes et des gens sont abandonnés à la ruine quand Dieu dit : « Qu'ils ne soient pas réprimandés. Ils sont si endurcis dans le péché, et si mûrs pour la ruine, qu'il sera inutile de s'occuper d'eux ou de s'occuper de Dieu pour eux. C'est de mauvais augure pour un peuple que les réprobateurs soient réduits au silence.

II. Les raisons de cette ordonnance.

1. Ils sont déterminés à continuer dans le péché, et aucune réprimande ne les guérira de cela. « Ton peuple est comme ceux qui luttent avec les prêtres » ; ils sont devenus si impudents dans le péché qu'ils voleront à la face même d'un prêtre lui-même s'il leur donne le moindre échec. Ces pécheurs ont le cœur méchamment endurci et se disputent avec leurs ministres parce qu'ils traitent fidèlement avec eux.

2. Dieu aussi est déterminé à procéder à leur ruine. « C'est pourquoi tu tomberas. » La ruine de ceux qui ont contribué à ruiner les éthers sera, d'une manière spéciale, intolérable. Quand tous sont impliqués dans la culpabilité, rien de moins ne peut être attendu que tous soient impliqués dans la ruine. ( Matthieu Henri. )

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