Les impies ne résisteront pas au jugement.

Le jour du jugement

1. Nul ne niera que la loi de Dieu, qui est sainte, juste et bonne, condamne explicitement le pécheur et le condamne à la seconde mort. Par la loi, aucun homme ne peut être justifié. Il ne contient aucune disposition sur le pardon.

2. Il ne pourra pas se présenter au dernier procès, car tous les témoins seront contre lui. Ses compagnons de péché témoigneront contre lui. L'exemple des justes témoignera contre les impénitents. La conscience et la mémoire éveillées du pécheur témoigneront contre lui. Ainsi seront les souffrances du Seigneur Jésus-Christ.

3. Le Juge éternel sera inflexiblement strict dans l'interprétation et le maintien de la loi. Et

4. Le pécheur impénitent à la barre de Dieu n'aura pas d'avocat. ( A. Dickinson,. )

L'impie se levant au jugement

Ils ne ressusciteront pas au jugement, c'est plus que saint Paul n'aurait dit lui-même s'il avait été à la place du prophète, car qui a jamais pensé que les impies devraient ressusciter au jugement, qui sont sûrs de tomber au jugement, voyant leur jugement sera à la condamnation et non à la délivrance ? S'élever jusqu'au jugement, c'est être traduit en jugement public, et c'est la résurrection générale que nous croyons ; mais s'élever dans le jugement, c'est subir un procès pour s'en tirer avec crédit, et, par la sentence du juge, non seulement être justifié, mais avancé. Et qui a jamais cru que ce soulèvement appartenait aux méchants ? ( Sir Richard Baker. )

Une congrégation dans laquelle les pécheurs ne peuvent se tenir

Et comme il y aura un jugement général, dans lequel les impies ne se lèveront pas, ainsi, après le jugement, il y aura une assemblée particulière de justes, dans laquelle les pécheurs ne se tiendront pas. Et, en effet, quelle société peut-il y avoir entre un arbre et de la paille ? ou qui peut penser qu'il convient que les arbres et la paille deviennent des compagnons ? Et comme il n'y a aucune raison pour que les impies, ayant fait tomber ici d'autres par leur conseil, se lèvent eux-mêmes dans le jugement ci-après, ainsi il n'y a aucune raison, vu que les justes ne pouvaient pas être laissés se tenir ici dans la voie des pécheurs, que les pécheurs devraient être autorisés à se tenir dorénavant dans la congrégation des justes.

Et voici maintenant qu'une multitude de raisons semblent assemblées, pour ainsi dire, pour bien faire, que les pécheurs ne peuvent ni ne doivent se tenir dans cette assemblée. C'est une congrégation que nul ne peut faire que les justes ; car les pécheurs sont tous des rebelles, et en feraient une déroute. C'est une cour où tout doit être net et net ; et ainsi il n'y a que les justes ; car les pécheurs sont tous des lépreux, et en feraient un hôpital. C'est une société qui fait communion, et qui ne peut faire que des saints, car les pécheurs cherchent chacun à eux, et sont tous pour eux-mêmes. Ils doivent être tous les amis de Dieu ; du moins, tel qu'il le sait ; et tels ne sont que les justes, car les pécheurs sont tous de simples étrangers et étrangers à Dieu. ( Sir Richard Baker. )

Défaut de jugement

Et maintenant, que les grands hommes du monde se plaisent, et pensent que c'est un bonheur qu'ils puissent s'élever dans les honneurs, qu'ils puissent s'élever dans la richesse et l'estimation dans le monde ; pourtant, hélas ! qu'est-ce que tout cela, s'ils ne parviennent pas à se lever au jugement à venir ? ( Sir Richard Baker. )

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