Le pain [le maïs] est meurtri; car il ne le battra jamais, ni ne le brisera [avec] la roue de sa charrette, ni ne l'écrasera [avec] ses cavaliers.

Ver. 28. Le maïs panifiable est meurtri. ] Pourtant pas mutilé ou gâché. Celui d'Ignace est bien connu, Commolor dentibus ferarum ut purius Domino panis fiam.

Parce qu'il ne le battra jamais.] Comme il ne sème jamais les miséricordes, il n'infligera pas toujours des misères.

Ni le meurtrir avec ses cavaliers. ] Ou, Avec ses sabots de chevaux.

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