Mais tu [es] celui qui m'a fait sortir du sein maternel: tu m'as fait espérer [quand j'étais] sur les seins de ma mère.

Ver. 9. Mais tu es celui qui m'a fait sortir de l'utérus ] Quand, sans ta toute-puissante sage-femme, j'aurais pu être étranglée; ou, comme naissance prématurée, jamais vu le soleil. Ce n'est pas moins qu'un miracle que l'enfant soit maintenu en vie dans l'utérus, et ne périsse pas au milieu de ces excréments, et qu'en sortant, il ne meurt pas, etc. L'ouverture et la fermeture même du corps lorsque l'enfant doit naître est une chose si incompréhensible que certains naturalistes reconnaissent la main immédiate et la puissance de Dieu en lui. Mais parce qu'il s'agit d'une miséricorde commune, on n'y prête guère attention ou on en fait peu usage.

Tu m'as fait espérer ] Ou m'as gardé en sécurité; pour puerilitas est periculorum pelagus, mille morts et dangers auxquels sont exposés les petits ; mais Dieu préserve et pourvoit : et haec non sunt per accidens, dit Kimchi, ces choses ne sont pas par hasard, mais par providence divine.

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