Consultez les notes à Matthieu 27:46-5.

Que l'Écriture puisse être accomplie, dit-il, j'ai soif - Voir Psaume 69:21. La soif a été l'une des circonstances les plus pénibles de la crucifixion. Les blessures étaient très enflammées et une fièvre déchaînée était causée, le plus souvent, par les souffrances sur la croix, et cela s'accompagnait d'une soif insupportable. Consultez les notes à Matthieu 27:35. Un mamelouke, ou officier turc, a été crucifié, dit-on dans un manuscrit arabe récemment traduit, sur les rives de la rivière Barada, sous le château de Damas. Vendredi, il a été cloué sur la croix et est resté jusqu'à dimanche midi, date à laquelle il est mort. Après avoir rendu compte de la crucifixion, le narrateur poursuit: «J'ai entendu ceci de celui qui en a été témoin; et il resta ainsi jusqu'à ce qu'il meure, patient et silencieux, sans gémir, mais regardant autour de lui à droite et à gauche, sur le peuple. Mais il demanda de l'eau, et personne ne lui fut donné; et les cœurs du peuple se fondirent de compassion pour lui, et de pitié pour l’une des créatures de Dieu, qui, encore un garçon, souffrait d’une épreuve si pénible. Pendant ce temps, l'eau coulait autour de lui, et il la regardait et aspirait à une goutte; et il se plaignit de soif tout le premier jour, après quoi il se tut, car Dieu lui donna de la force »- Wiseman’s Lectures, pp. 164, 165, éd.

Jean 19:3

C'est fini - Les souffrances et les angoisses du rachat de l'homme sont terminées. Le travail longtemps contemplé, longtemps promis, longtemps attendu par les prophètes et les saints, est terminé. Les peines du ministère, les persécutions et les moqueries, les douleurs du jardin et de la croix sont terminées, et l'homme est racheté. Quelle merveilleuse déclaration était-ce! Quelle consolation pour l'homme! Et comment cette déclaration mourante du Sauveur devrait-elle toucher chaque cœur et affecter chaque âme!

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