Oh que le salut d'Israël ... - Le seul changement par rapport à Psaume 14:7 est que le mot אלהים 'Elohiym, Dieu, est substitué à «Jéhovah», Seigneur, et que le mot rendu par «salut» est ici au pluriel. Dans l'hypothèse où le psaume était adapté à un état de choses où la ville avait été assiégée et l'ennemi décontenancé, ce langage exprimerait le désir profond et sincère du peuple que le Seigneur accorde la délivrance. Peut-être peut-on supposer, aussi, qu'au moment d'un tel siège, et pendant que le Seigneur s'interposait pour les sauver du siège, il était également vrai qu'il y avait un danger général qui pèse sur le peuple; que même la nation pourrait être décrite comme «captive» dans un certain sens; ou que certaines parties du terrain étaient soumises à une puissance étrangère. Le désir exprimé est que la délivrance soit complète et que la terre entière soit amenée à la possession de la liberté et soit sauvée de toute domination étrangère. Ce moment, quand il arriverait, serait l’occasion de réjouissances universelles.

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