Maintenant, frères, De peur que vous ne soyez surpris que moi, qui suis l'apôtre des Gentils, et qui ai exprimé un tel désir de vous voir, je n'aie encore jamais prêché à Rome ; Je ne voudrais pas que vous ignoriez que je veux vous informer ; que souvent je me proposais de venir à vous. Voyez la marge. Mais a été laissé (prévenu) jusqu'à présent soit par les plus grandes nécessités des autres, comme Romains 15:22 , soit par l'Esprit, Actes 16:7 , soit par Satan soulevant l'opposition et la persécution, ou empêchant autrement 1 Thesaloniciens 2:2 ; 1 Thesaloniciens 2:18 . Que je pourrais avoir des fruitsDe mes travaux ministériels ; par la conversion des uns, la confirmation et l'édification des autres ; de même que j'ai déjà eu des nombreuses églises que j'ai plantées et arrosées, parmi d'autres Gentils, Romains 15:18 .

Je suis débiteur à la fois des Grecs , &c. Étant l'apôtre des Gentils, je suis tenu de prêcher à la fois aux Grecs, si intelligents soient-ils, et aux barbares, si ignorants soient-ils. Sous le nom de Grecs , on entend les Romains, car ils étaient maintenant devenus un peuple savant et poli. Pour la signification du nom barbare , voir la note sur Actes 28:2 et 1 Corinthiens 14:11 ; à la fois aux sages et aux imprudentsCar il y avait des insensés même parmi les Grecs, et des sages même parmi les barbares; et Paul se considérait comme leur débiteur à tous ; c'est-à-dire sous une obligation indispensable, par sa mission divine, de leur prêcher l'évangile ; tenu par le devoir et la gratitude de faire tout son possible pour favoriser la conversion et le salut des hommes de toute nation et de tout rang, de tout génie et de tout caractère. Ainsi, autant qu'en moi est Selon la capacité que Dieu me donne, et les occasions dont il se plaît à me favoriser ; Je suis prêt et désireux de prêcher l'évangile à vous qui êtes aussi à RomeBien que ce soit la capitale du monde, un lieu de tant de politesse et de grandeur, et un lieu également où il peut sembler particulièrement dangereux de s'opposer à ces superstitions populaires auxquelles l'empire est censé devoir sa grandeur et sa félicité : pourtant, à dans tous les cas, je veux bien venir publier parmi vous ce message divin ; bien que ce soit au détriment de ma réputation, de ma liberté ou de ma vie.

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