Pour moi, vivre, c'est Christ, etc. — « Il est la fin suprême de la vie, et je ne l'apprécie que dans la mesure où elle peut être rapportée aux fins de son honneur ; et, par conséquent, mourir est un gain : car comme ce tempérament argumente mon intérêt pour l'amitié de ce Rédempteur, qui est le Seigneur du monde invisible aussi bien que du monde visible, je suis bien convaincu qu'il fera amplement provision pour mon bonheur, quand je quitterai cette vie passagère, et m'entoure de bénédictions bien plus importantes que toutes celles auxquelles je dois alors démissionner.

L'utilité de ma mort ne se limite pas non plus à cela ; il peut être instrumental pour gagner d'autres à la religion du Christ ; de sorte que, dans tous les cas, que je respecte l'honneur de Christ, ou ma propre condition éternelle, pour moi, vivre est Christ, et mourir est un gain. » M. Pierce rendrait ceci, car Christ est un gain pour moi, vivant ou mourant.

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