Ses disciples lui disent, ... étant surpris de ce récit des choses, cela étant tout à fait contraire à ce qu'ils avaient été enseignés et très différents de la pratique générale et de l'utilisation de leur pays:

Si le cas d'un homme soit si avec sa femme; S'ils sont si étroitement associés au mariage; S'ils le sont, comme c'était une chair ou un corps, que la femme d'un homme est lui-même: que le lien entre eux est tellement inviolable, qu'il ne faut pas être dissous, mais en cas d'adultère; que si une séparation soit faite par une lettre de divorce, dans toute autre affaire et que l'une des parties se marie à nouveau, elles sont coupables d'adultère; Si un homme ne peut pas se séparer de sa femme légalement, à condition qu'elle soit chaste et qu'elle soit fidèle à son lit, la laissa être ce qu'elle aura autrement, même si jamais désagréable chez elle et gênant dans son comportement; bien qu'elle puisse être passionnée et un bagarre; Bien qu'elle puisse être ivre, luxueuse et extravagante, et que l'esprit de sa famille n'est pas encore des affaires de sa famille, si elle n'est pas une adultère, ne doit pas être reportée:

Ce n'est pas bon de se marier; Il serait plus opportun et conseillé pour un homme de vivre toujours une vie unique, que de courir le risque d'épouser une femme, qui peut s'avérer très désagréable et inconfortable; À qui il doit être lié tous les jours de sa vie et, dans un tel cas, de ne pas pouvoir se soulager et se dégager. Cela dit sous le préjudice d'une loi nationale et de coutume, qui a grandement prévalu et sous l'influence d'un cœur charnel.

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