Et quand toutes choses lui seront soumises, (m) alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que (n) Dieu soit tout en tous.

(m) Non pas parce que le Fils n'était pas soumis à son Père auparavant, mais parce que son corps, c'est-à-dire l'Église qui est ici dans la détresse, et qui n'a pas encore entièrement participé à sa gloire, n'est pas encore pleinement parfait : et aussi car les corps des saints qui sont dans les tombeaux ne seront glorifiés qu'à la résurrection. Mais Christ comme il est Dieu, nous a soumis à lui comme son Père, mais comme il est prêtre, il est soumis à son Père avec nous. Augustin, livre 1, chap. 8, de la trinité.

(n) Par ce haut type de discours est énoncée une gloire incompréhensible qui découle de Dieu et nous remplira tous, comme nous sommes unis avec notre tête, mais cependant de telle manière que notre tête conservera toujours sa prééminence .

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