Mais je vous dis que quiconque est en colère contre son frère sans cause sera (i) en danger (k) du jugement : et quiconque dira à son frère, Raca, sera en danger du (l) conseil : mais quiconque dira, Toi insensé, sera en danger de (m) enfer (n) feu.

(i) Il parle du jugement de Dieu et de la différence des péchés, et applique donc ses paroles à la forme des jugements civils qui étaient alors utilisés.

(k) De ce jugement qui a été rendu par trois hommes, qui avaient l'audition et la décision des affaires d'argent, et d'autres petites causes.

(l) Par ce jugement qui était de 23 juges, qui avaient l'audition et la décision des affaires importantes, comme l'affaire de toute une tribu ou d'un souverain sacrificateur, ou d'un faux prophète.

(m) Alors que nous lisons ici "l'enfer", c'est dans le texte lui-même "Géhenne", qui est un mot hébreu fait de deux, et c'est comme pour dire "comme la vallée de Hinnom", que les Hébreux appelaient Topheth : c'était un lieu où les Israélites sacrifiaient cruellement leurs enfants à de faux dieux, après quoi il fut pris pour un lieu désigné pour tourmenter les réprouvés en ( Jérémie 7:31 ).

(n) Les Juifs utilisaient quatre sortes de punitions, avant que leur gouvernement ne soit enlevé par Hérode : la pendaison, la décapitation, la lapidation et l'incendie. C'est brûler ce que Christ voulait dire, parce que brûler était la plus grande punition ; c'est pourquoi en faisant mention d'un jugement, d'un concile et d'un feu, il montre que certains péchés sont pires que d'autres, mais pourtant ils sont tous tels que nous devons en rendre compte et que nous serons punis pour eux.

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