(6) Car ceci [est] la parole de la promesse, A ce moment-là je viendrai, et Sara aura un fils.

(6) Une raison de cette application : parce qu'Isaac est né par le pouvoir de la promesse, et donc il n'a pas été choisi, non, il ne l'a pas été du tout, sauf par le libre arbitre de Dieu : d'où il suit que la promesse est la fontaine de la prédestination, et non la chair, de la promesse dont procède l'élection particulière, c'est-à-dire que les élus sont nés élus, et non qu'ils sont d'abord nés, et ensuite élus, par Dieu qui prédestine.

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