(5) Des choses mortes se forment sous les eaux, et leurs habitants. (6) L'enfer est nu devant lui, et la destruction n'a pas de couverture. (7) Il étend le nord sur le vide, et suspend la terre à rien. (8) Il lie les eaux dans ses nuages ​​épais ; et le nuage n'est pas loué sous eux. (9) Il retient la face de son trône et y étend sa nuée.

(10) Il a entouré les eaux de bornes, jusqu'à la fin du jour et de la nuit. (11) Les colonnes du ciel tremblent et s'étonnent de sa réprimande. (12) Il partage la mer avec sa puissance, et par son intelligence il frappe les orgueilleux. (13) Par son esprit, il a garni les cieux; sa main a formé le serpent tordu. (14) Voici, ce sont des parties de ses voies : mais combien peu est-on entendu de lui ? mais le tonnerre de sa puissance qui peut comprendre ?

Si belle que soit cette relation concernant DIEU et ses attributs glorieux, ce n'était pourtant certainement rien d'autre que ce qui aurait pu être aussi bien discouru, sans tenir compte de la dispute entre Job et ses amis, qu'avec elle. Il forme un grand sujet dans l'affichage de la puissance de DIEU. Sa toute-puissance dans la création ; son omniscience dans la contemplation. L'enfer nu devant lui, est une description solennelle, en peu de mots, de tout ce qui est horrible et alarmant.

Mais ces choses, lues aussi d'un point de vue spirituel, comme se référant à son pouvoir gracieux de recréer les âmes de son peuple, observant les douleurs de l'enfer dans leurs luttes avec le royaume des ténèbres ; retenant la face de son trône, quand les saisons sombres les oppriment ; étendant sa nuée sur elle, quand il ne semble aucune réponse à la prière : ce sont de belles illustrations des voies de DIEU, bien que, comme Job le dit, ce ne sont que des parties de ses voies : et combien peu, après tout, le plus sage peut découvrir de lui.

Lecteur! il est profitable de regarder ces choses par rapport à nous-mêmes. Aussi belles et instructives que soient toutes les écritures, lorsqu'elles sont vues comme illustrées dans l'histoire des autres, pourtant, d'après notre propre expérience, celles qui nous touchent le plus près du cœur sont celles qui parlent à l'esprit d'un homme. David a fait une observation très frappante et juste sur ce terrain lorsqu'il dit : Je n'oublierai jamais tes préceptes, car avec eux tu m'as vivifié. Psaume 119:93 .

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